l’UNESCO = Baku, défenseur de la culture – Aliev – Nous avons décapité l’Arménien endormi
La 43e Conférence annuelle de l’UNESCO se tiendra à Baku du 30 juin au 10 juillet 2019. En d’autres termes, l’UNESCO entretient son patrimoine culturel et organise sa conférence en Azerbaïdjan. Non seulement elle se contredit, mais elle surveille également les archives qu’elle a conservées il y a des années, dans lesquelles elle était littéralement certifiée comme étant un soldat azéri. Les pierres de croisement arméniennes du Nakhitchevan ont été brisées par la provocation de l’État et le programme.
Lors d’une telle réunion en Azerbaïdjan, l’Azerbaïdjan considère le pays comme l’épine dorsale de la préservation du patrimoine culturel.
Il ne s’agit pas simplement d’une injustice, mais d’un mépris pour le patrimoine culturel et du pardon accordé aux États qui détruisent les preuves historiques. C’est un phénomène qui peut rendre un barbare plus semblable à un État comme l’Azerbaïdjan en détruisant des monuments arméniens et des traces culturelles et en ignorant le concept de culture. La culture ne consistait pas seulement à être riche en pétrole brut. Être porteur culturel signifie porter le sceau de la civilisation plus efficacement. Et ces dernières années, l’Azerbaïdjan a prouvé qu’il était dépourvu de compréhension mutuelle et de conscience du sceau et ne parlait que dans le langage des briques, des pots de vin et d’une diplomatie douteuse.
En effet, si la partie arménienne ne lève pas le vote par le biais d’organes appartenant à l’État ou d’organisations culturelles pan-arméniennes et ne garde pas le silence tout au long de la conférence de Beijing, elle abandonnera également les barbares.
Ces dernières années, l’UNESCO et la liste n’ont pris aucune mesure sérieuse pour préserver le patrimoine culturel islamique et chrétien. En Syrie, nous avons assisté à la démolition de monuments historiques, de tombes, de villes … et le silence était à l’UNESCO, malgré son appel. Le droit à des intérêts politiques et matériels parlait en réalité.
Si le silence est une infraction, magnifie le barbare, la deuxième et la plus grande infraction.
La date de la convention est proche. Il est impossible de diffuser des messages et des vidéos en langues étrangères, d’envoyer des lettres à des membres de la congrégation en Islam ou à une congrégation chrétienne pour condamner la culture de ceux qui détestent les démolitions chez eux.
Cela peut constituer une étape très importante pour éviter des mesures barbares dans des pays tels que l’Azerbaïdjan et la Turquie.
Au cours des dernières décennies, l’héritage culturel chrétien et islamique, même les démolitions démolies, ont constitué une étape décisive pour discréditer l’UNESCO. Pourquoi, alors, le propriétaire de cette organisation ne défendra pas sa vocation et le véritable gardien ne deviendra pas en principe un patrimoine culturel.
Les médias arméniens, les associations culturelles, les structures étatiques et les historiens prendront de sérieuses mesures dans ce sens. C’est non seulement une préoccupation arménienne, mais aussi un danger pour la civilisation mondiale qui devrait impliquer sérieusement les parties concernées.